Tous ceux qui se sont sentis « mordus par l’Afrique », piégés, séduits par l’Afrique s’accordent à dire que l’Afrique leur a donné plus qu’ils n’ont pu offrir et qu’au-delà des inévitables problèmes inhérents aux relations interculturelles, la reconnaissance de la « l’humanité commune » est réconfortante et réparatrice, un bien peut-être aussi ou plus précieux que l’eau elle-même.
Mª Rosa Obiols.
Co-Fondatrice Aigua per al Sahel